Directement lié aux 5 composantes du Management Agile, voici l’outil sur lequel je m’appuie pour travailler avec les Managers sur leur nouvel posture.
La roue du Manager Agile est un outil simple et efficace, plutôt bien apprécié par mes coachés!
C’est une bonne base de discussion qui nous permet d’entrevoir les points forts et les axes de progrès pour les managers accompagnés dans le cadre de la transformation agile de leur organisation.
La roue de l’agilité managériale propose un éclairage sur les situations de travail et activités managériales dans un contexte agile. Le manager s’interroge sur sa posture, raconte ce qui fonctionne, ce qu’il met déjà en œuvre et décrit un futur désiré pour chacune de ces dimensions.
Nous poursuivons l’entretien de coaching dans un cadre d’accompagnement orienté solutions (« Solution focus »). Ce cadre de coaching, inspiré des travaux de Steve de Shazer et Insoo Kim Berg, repose sur 3 principes :
- Ne pas réparer ce qui n’est pas cassé
- Trouver ce qui marche et en faire davantage
- Arrêter de faire ce qui ne marche pas et tenter autre chose
Pour les dimensions qu’il souhaite travailler, le manager affine l’objectif et l’état désiré. Il se situe sur une échelle de 1 à 10, décrit ce qui fait qu’il en est déjà là et les forces sur lesquelles il peut s’appuyer pour faire ces petits pas qui lui permettent progressivement d’aller toujours plus loin.
Le coaching est du type coaching bref et se fait dans le cadre d’une conversation structurée.
Alors dites-moi où vous situez-vous sur ces différentes dimensions de la posture de Manager Agile? quelles pratiques associées (One on One; Delegation poker; MBWAL; Kudo Box…) mettez vous en oeuvre?
Plus d’éléments sur le leadership agile et les pratiques managériales innovantes dans mon nouveau livre : Culture agile
En quoi puis-je vous aider?
Si le management Agile vous questionne, n’hésitez pas à me contacter, je peux vous accompagner…
06.20.98.58.40
jcgrosjean@gmail.com
Merci Jeff (again & again…) pour ces articles pret-à-emploi
D’où vient ce modèle en cinq points ?
Quelle est sa justification ?
Il y en a pléthore, je m’y perds un peu
Enfin, c’est bien beau tout ça mais il y a encore 3 transfos agiles / 4 où le management est très insuffisamment accompagné, ou pire ne se sent pas concerné. Les conséquences sont catastrophiques sur le résultat. J’ai eu encore récemment des exemples : colère, méfiance, dépression, clashes en tout genre…
Quand va-t-on arrêter le massacre ?
Faut-il encore rappeler que 70% des transformations fournissent des résultats mitigés ?
Ou les consultants se gardent de le dire pour préserver leur business ?
J’espère ne pas être le seul à dénoncer ce manque ce déséquilibre d’accompagnement entre les équipes et le management… mais parfois j’en ai l’impression…
En cela je te remercie beaucoup de fournir des outils qui poursuivent précisément le but de régler cela
Hello David
moi c’est jc 🙂
D’où viennent ces 5 composantes et cette roue du Manger Agile: de ce que j’ai pu observer à droite à gauche, dans les organisations, donc de ma propre expérience et de mes réflexions alliées à une veille constante depuis des années. Mes premiers articles sur le sujet du management agile datent de 2010 je crois…
Pour le reste je suis convaincu que les choses évoluent, à leur rythme certes mais évoluent…
Merci de ton feedback
C’est pourquoi je suis convaincu qu’en manifestant un peu, la prise de conscience ira plus vite
Aidez moi les gars !
Ce qui important pour les gens aujourd’hui, c’est de bien comprendre ce qui CHANGE avec le management dit AGILE. On entend souvent : « Et donc, ça change quoi ? je ne vois pas ce qui a de « agile » dans cette définition qui est celle du management en général… »
J’avais tenté d’éclairer un peu plus le public avec ceci : https://fr.slideshare.net/dbroc/presentation-management-agile-pmi-81510252
Comme toi je me suis nourri des mêmes idées, notamment des tiennes et de celles de **Thierry Cros** qui rappelle en substance dans son bouquin « **Manager Agile** » que je conseille : « fixer le cadre de l’auto-organisation ». Donc **fixer le cadre** quand même.
Merci pour cet échange
Un des problèmes que je vois avec ce courant et qu’en cultivant le positivisme sans vraiment mettre en garde sur les risques, il expose les managers à une vulnérabilité devant des situations critiques. Le manager essaie de basculer trop vite et maladroitement dans la nouvelle posture, alors qu’il s’agit aussi de **sécuriser le chemin** (le sien et celui des autres), en continuant à **décider** si nécessaire et sachant être **ferme** quand une transformation agile traverse la vallée de la mort, en faisant preuve d’**autorité**, etc.